Le hasard fait toujours son travail…
En allant chez mon médecin, je tombe par hasard sur 2 noms que je n’ai aucun mal à me mémoriser. BAG : « Beautiful Adress Guide », dont je vous reparlerai sans doute un peu plus tard. Un magazine de fashionista qui en mérite vraiment le nom. Superbe. Mais j’attends de vérifier s’il parait toujours pour approfondir le sujet… Forcément.
L’autre nom ? Camille de Perretti. On y parle (dans B.A.G) de son livre Thornytorinx. Boulimie et anorexie, ils résument cela par une petit phrase apposée : « Wanna be a princess », ou les déboires d’une jeune fille qui croyait, notamment par sa mère, être la plus belle et… en a fait un devoir, une objectif, jusqu’à la destruction (…).
C’est ainsi que la saint valentin a apporté son lot de surprises. Pour le coup, une vraie. Voulant acheter quelque chose à mon cher et tendre - en réelle surprise car nous ne fétons normalement pas cet évènement commercial ! -, je profite de mon saut à la FNAC pour me saisir du livre en question.
Thornytorinx en poche, je rentre chez moi. 2 minutes plus tard, je veux en savoir plus. Je tape Camille de Peretti sur Google et je lis une biographie qui en ferais pâlir plus d’un d’entre nous :
« Camille de Peretti est née à Paris où elle a effectué toute sa scolarité dans une école internationale du 15ème arrondissement. Après une hypokhâgne et une khâgne, elle intègre l’ESSEC. Pour payer ses études, elle est apprentie analyste financière dans une banque puis donne des cours de cuisine française à la télévision japonaise. Ne se découvrant pas de passion véritable pour la comptabilité et la gestion, une fois son diplôme en poche elle s’enfuit au cours Florent pendant trois ans et crée une entreprise d’événementiel. En 2005, elle publie son premier roman, Thornytorinx aux éditions Belfond et tourne deux longs métrages, The Cutting Room Floor (Richard Roenpack) et Casting (Stéphane Robelin). En 2006, elle s’envole pour Londres et publie Nous sommes cruels aux éditions Stock. Aujourd’hui, elle vit à Paris et publie son troisième roman Nous vieillirons ensemble (Stock, févier 2008). »
Pas mal pour un début !
Assez impressionnée, je relis l’extrait du livre, au dos, qui avait fini de me convaincre d’investir quelques 15 euros dans cet achat intellectuel et « divertissant » :
En allant chez mon médecin, je tombe par hasard sur 2 noms que je n’ai aucun mal à me mémoriser. BAG : « Beautiful Adress Guide », dont je vous reparlerai sans doute un peu plus tard. Un magazine de fashionista qui en mérite vraiment le nom. Superbe. Mais j’attends de vérifier s’il parait toujours pour approfondir le sujet… Forcément.
L’autre nom ? Camille de Perretti. On y parle (dans B.A.G) de son livre Thornytorinx. Boulimie et anorexie, ils résument cela par une petit phrase apposée : « Wanna be a princess », ou les déboires d’une jeune fille qui croyait, notamment par sa mère, être la plus belle et… en a fait un devoir, une objectif, jusqu’à la destruction (…).
C’est ainsi que la saint valentin a apporté son lot de surprises. Pour le coup, une vraie. Voulant acheter quelque chose à mon cher et tendre - en réelle surprise car nous ne fétons normalement pas cet évènement commercial ! -, je profite de mon saut à la FNAC pour me saisir du livre en question.
Thornytorinx en poche, je rentre chez moi. 2 minutes plus tard, je veux en savoir plus. Je tape Camille de Peretti sur Google et je lis une biographie qui en ferais pâlir plus d’un d’entre nous :
« Camille de Peretti est née à Paris où elle a effectué toute sa scolarité dans une école internationale du 15ème arrondissement. Après une hypokhâgne et une khâgne, elle intègre l’ESSEC. Pour payer ses études, elle est apprentie analyste financière dans une banque puis donne des cours de cuisine française à la télévision japonaise. Ne se découvrant pas de passion véritable pour la comptabilité et la gestion, une fois son diplôme en poche elle s’enfuit au cours Florent pendant trois ans et crée une entreprise d’événementiel. En 2005, elle publie son premier roman, Thornytorinx aux éditions Belfond et tourne deux longs métrages, The Cutting Room Floor (Richard Roenpack) et Casting (Stéphane Robelin). En 2006, elle s’envole pour Londres et publie Nous sommes cruels aux éditions Stock. Aujourd’hui, elle vit à Paris et publie son troisième roman Nous vieillirons ensemble (Stock, févier 2008). »
Pas mal pour un début !
Assez impressionnée, je relis l’extrait du livre, au dos, qui avait fini de me convaincre d’investir quelques 15 euros dans cet achat intellectuel et « divertissant » :
« J’ai vomi partout. Partout où j’ai pu. N’importe où, n’importe quoi, n’importe quand. J’ai vomi avec mon index et mon majeur agrippés au fond de ma gorge. J’ai vomi à Paris et à Londres, j’ai vomi à Tokyo (…) ».
Bizarre comme résumé ?! Peut être mais le rapport à la beauté, ses débordements, ses exigences évidentes ou déguisées, les troubles liés à ce rêve m’ont toujours passionnée.
Bizarre comme résumé ?! Peut être mais le rapport à la beauté, ses débordements, ses exigences évidentes ou déguisées, les troubles liés à ce rêve m’ont toujours passionnée.
Allez savoir pourquoi (…).
Toujours est il, donc, que je m’apprête à lire un roman qui, selon les critiques, parait être un bien bon moment littéraire.
Y en a-t-il dans cette assemblée qui connaisse déjà cet auteur ?
Je me charge de toutes manières de revenir vers vous avec quelques commentaires avisés. Le format et le style me promettent que je reviendrai dans peu de temps, à priori !
Et les autres achats à la FNAC pour mon chéri ? Mais ça, c’est du domaine du perso. Sachez juste que, malgré tous les préjugés sur cette fichue St Valentin, rien à faire : on aime toujours la fêter une fois qu’on vous y a poussé, juste un peu (mais vraiment juste juste un peu… !). Ahh, … romantisme quand tu nous tient… !
Bonne fête aux amoureux, au passage.
Toujours est il, donc, que je m’apprête à lire un roman qui, selon les critiques, parait être un bien bon moment littéraire.
Y en a-t-il dans cette assemblée qui connaisse déjà cet auteur ?
Je me charge de toutes manières de revenir vers vous avec quelques commentaires avisés. Le format et le style me promettent que je reviendrai dans peu de temps, à priori !
Et les autres achats à la FNAC pour mon chéri ? Mais ça, c’est du domaine du perso. Sachez juste que, malgré tous les préjugés sur cette fichue St Valentin, rien à faire : on aime toujours la fêter une fois qu’on vous y a poussé, juste un peu (mais vraiment juste juste un peu… !). Ahh, … romantisme quand tu nous tient… !
Bonne fête aux amoureux, au passage.
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