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mardi 15 novembre 2011

ODILE LECOIN : "A y est ! Masque TESTE !"


Je vous en ai déjà parlé il y a…presqu’un an déjà ! (punaise, ça file !)
La marque en Or qui a su me séduire.
Oui. Odile Lecoin (ICI même)

> Pas très connue, à part en Asie (principalement), issue d’une dermato, mi New York mi Paris, qui fait bien son boulot.
> Des actifs concentrés (plus que la moyenne – et de loin, pour certains produits -),
> Des packs superbes (ça, c’est certain !),
> Une gamme courte qui cible les besoins essentiels (et ça m’plait !), à quoi ils viennent d’ajouter une eau démaquillante pour les asiatiques qui la réclamaient à corps et à cris (que j’utilise et que j’aime beaucoup : sauf qu’elle décape un tout petit peu).

Là, pour aujourd’hui, je voulais simplement attirer votre attention sur le masque Dolce Vita.

Cela fait un bail que je devais le tester : c’est chose faite ! Et je m’en félicite !
Vous dire que le masque est efficace, c’est une chose.
Vous dite que la sensorialité du tout est mortelle, c’est encore autre chose.

Il est simplement un peu liquide pour une application sous la douche où l’humidité ambiante ajoute un peu d’eau et où l’on se doit alors de faire attention de ne pas en faire couler à côté.

Mais :
> La texture est à tom-ber ! Lisse, soyeuse, effet gel doux : on en mangerait ! J’adore.
>  L’odeur est, comme toujours pour cette marque !, un vrai bOnheur cosmétique !
> Et le bilan est sans appel : gommer un peu la peau avant pour un effet teint illuminé encore plus visible ! Et regardez.
Bref…vous avez saisi : recommandation trrrès appuyée pour un moment de pur plaisir ET de beauté.

Odile Lecoin – Masque DOLCE VITA
60ml – env. 75€

Décidément, cela reste dans mes chouchous encore pour 2011. 
Trop forte cette Odile !

A très vite.
xxx

mercredi 9 novembre 2011

La pub Beauté miracle qui marche à TOUS les coups...



Dans les années 2000 et quelques (et même avant ? j’me souviens plus !), quand j’allais au ciné, un de mes moments préférés était de voir la pub des Galeries Lafayette.
Si !!! Rappelez-vous ! Celle où l’on voyait une femme se faire belle, jouer avec des accessoires Mode en tous genres, ravissante, fraiche, heureuse. L’idée maitresse était de jouer sur la notion de « Recette » (beauté).
Ca disait successivement « Saupoudrez » à coups de blush, « Couvrez » instant où elle posait une superbe capeline sur cheveux lissés, « Laissez poser » laissant place à une scène de bain glamour et relax aux odeurs perceptibles d’huiles essentielles.
Je l’a-do-rais ! Littéralement.

Et puis.
Lorsque Sephora a lancé sa pub « Pourquoi faire la nuit ce que vous pouvez faire le jour », j’ai tilté. Direct !
Même esprit, scénario sensiblement pareil, ambiance « perso glam’ » identique.
Même la fille avait des airs de celles des Galeries : blondes, filiforme, joues roses.
Et ? Je l’ai adorée !



Alors. Quand Yves Rocher a lancé sa dernière pub (« multi produits » ou « transversale ») sur cette jeune femme que l’on suit dans ses gestes beauté, jeune, fraiche, jolie, légère : à qui tout le monde a forcément envie de s’identifier, … j’ai tilté ! Encore.
Encore la même idée. En plus dynamique, un peu du moins (car en exterieur aussi). Même fille, jeune, blonde, fine, jolie. Et cette succession bien filmée de couleurs, de matières et textures, de gestes naturels, de gros plans beaux, sexy. Simples. Qu’on a envie de reproduire quoi, rien que pour soi. Pour soi.
 Et ? Je l’adore !!!
Décidément…
Mais alors ?
On l’aurait trouvée ? LA recette idéale de LA pub beauté qui marche ?
Je lisais en diagonale les commentaires sur Youtube et elle fait un carton : « on a envie de se faire belle » ! Oui ! Elle donne envie ! On s’y sent bien ! On adhère. On la retient.



Je note. La recette miracle a déjà servi 3 fois. Elle repassera…
La vie n’est qu’un cycle. La com’ aussi !

A bientôt !
xxx

mardi 8 novembre 2011

Pourquoi plutôt VOGUE que ELLE? (attention, ça dégomme)




Souvent quand on pense à VOGUE on pense sélectif, too much fashion, élite voire bourgeoise.
Quand on dit «ELLE » on pense accessible, beauté et mode, journal trans-générationnel.
Pas cool.

Vogue a changé. Et ça, depuis le début des 2000’s…
A l’époque j’avais du me pencher sur la question pour valider ou pas un espace publicitaire pour une marque beauty care sur laquelle je bossais.
Quant à ELLE, il récolte toujours tous les lauriers parce que c’est LA référence et personne n’ose jamais vraiment dauber…
Pourtant, parfois. Et là, aujourd’hui, sur ce blog, d’ailleurs… :
Oui, je me suis dit que j’allais tenter une petite approche en crabe pour vous faire réfléchir à la question (maxi) girly mais pas débile : VOGUE ou ELLE

En fait, tout dépend des objectifs.
Mais mettons nous d’accord : si vous aimez vraiment la beauté, alors peut être que vous n’avez pas la bonne option sur la table du salon…

En fait, il y a un truc qui m’énerve et qui a motivé ce post :
Quand on bosse dans le secteur de la beauté, on sait pertinemment que les grands groupes et les grandes marques ne créent pas vraiment d’idées dingues parce que de toutes manières, avant qu’elle passe le filtre de l’assistant chef de produit, du chef de produit, du chef de groupe et du directeur marketing, que ces 4 là soient assez couilllus courageux pour dire « tentons  et voyons », le projet est déjà mort à …99% de chance ! Parfois les grands au niveau des sièges ou surtout de la R&D (si elle est suffisamment business oriented) dont c’est le job. Mais peut-on compter sur ça ? Dur. Risqué.

Alors que les petites marques : elles doivent émerger, se différencier, se faire remarquer, trouver leur place. Alors ? Certaines (pas toutes non plus…) creusent intelligemment : applications packaging, nouvelle approche conso, ingrédients osés, communication décalée, …

Pourtant, en général, ces petites (et/ou nouvelles) marques, personne n’en  parle !
Y en a que pour les grandes.
Alors pourquoi ?

En en discutant avec pas mal d’attachées de presse ou de responsables d’agence RP c’est simple et horrible (du moins injuste) : on ne met dans les articles que les marques et produits qui ont payé de la pub. Vu que de toutes manières, sans pub, la presse est morte, on le sait.
Mais le raisonnement a été poussé à l’extrême sur les dernières années (de crise) et là on ne parle que de Clarins, Clinique, L’Oréal, Dior…
Mais ça on sait déjà !! On les connait déjà ! On les voit en magasin, ils nous harcèlent à la TV (info au passage : le marché français média est le plus cher au monde …), on nous en colle plein les bras en échantillons devant le boulot…

Non. Nous ce qu’on veut c’est être surprises, apprendre des trucs nouveaux, s’enthousiasmer pour des idées, s’amuser avec un secteur « plaisir », continuer de découvrir aussi.
Ben non. Pas possible. Bouffe ta multinationale et voilà.

Bon, ils ne font pas que des choses inintéressantes loin de la. Oh. L’idée n’est pas de dramatiser et de construire une autre caricature parallèle ! Ce sont quand même ceux qui drivent le marché.
Mais quand même ce serait bon : de la diversité.

Est-ce que notre monde tout entier devra un jour se résumer (et être régi par) à des quotas en tous genres jusqu’au ridicule pour que les moins forts puissent avoir droit de parole ?...

Je ne sais pas.
Pour en revenir à nos moutons, j’en veux à ELLE pour ça : ils sont tombés dans cette caricature là. Je ne sais pas comment ils peuvent faire pour fonctionner autrement à vrai dire, soyons honnêtes ! Mais faudrait quand même au moins les 2 options, non ? Un peu de news macroscopiques type, et des infos OFF avec expertise et enquêtes sur les marques de niche ou médiums qui valent le détour !

Non ??? Je suis dingue ou ça parait logique et souhaitable à tout le monde ?

En tous cas, du coup, je recommence à me rabattre sur Vogue : car  professionnellement ce que je cherche c’est du sang neuf, des idées, des trucs qui changent. Qui changent le marché, la vision qu’on en a, jusqu’à nos habitudes… Un peu ras le bol des xième redites, quoi.

Dans VOGUE, on en bouffe aussi de la pub ! Ça, pour sur. Mais concentrée au début, sur des griffes de mode luxe, et surtout, surtout : ça ne le les empêche pas de parler d’autre chose ! de marques différentes, de phénomènes nouveaux - qui impliquent des marques de niche, aussi, parfois, quand c’est justifié -. Et tout ça, au sein d’un panorama mondial, et non pas franco-français qui fatigue à la longue.

Faut pas m’en vouloir mais il fallait que ça sorte.
En plus, là, sur les 2 derniers numéros ça m’a simplement sauté aux yeux : VOGUE fait un spécial Cosmeto et ELLE aussi.
Et bien, allez voir et comparez.
C’est l’occasion de comprendre pourquoi ce post peut avoir sa place dans votre réflexion de fin de semaine. Sans jouer les révolutionnaires ni les intellos.

Et as usual, n’hésitez pas à revenir ici pour donner votre avis.
Sur ce, bonne lecture et à très vite !

xxx


lundi 7 novembre 2011

Beauté : attention, Marques Distributeurs abouties en vue !




Les MDD (*) sont en recul sur l’alimentaire.
Cela a beaucoup fait parler ! Les professionnels j'entends.

Alors qu’on atteignait des sommets et que toutes, absolument toues les enseignes, avaient dans leur boite de quoi faire pâlir les marques nationales, personne ne parvenait à imaginer jusqu’à quel % de PDM (parts de marché) elles arriveraient. En copiant, en mimant, en « me too »iant, etc.… Bref, qu’importe. Ça en faisait frémir plus d'un. Focus Prix-qualité de l’époque en décor.

Les Écoles de commerce recyclaient en boucle les exemples classiques d’Ikea, Décathlon ou encore Monoprix Gourmet. Et puis PAF, coup de théâtre ou coup de tonnerre, les voici éloignées, lentement mais apparemment sûrement, des projecteurs.

Ah. Pas tant que ça, concernant notre secteur de prédilection qu’est la cosmétique...

On ne parlera même pas de Sephora, enseigne du domaine plébiscitée par les consommatrices, aussi bien sur l’offre que le concept ou que la relation client (cf. dernière couverture de Cosmétique Mag) qui maîtrise depuis déjà un bon moment le sujet sur le bout des doigts…

Aujourd’hui j’avais plutôt envie de faire un clin d’œil à Marionnaud.
Après le rachat par Watson, ça a été la guerre. Les licenciements en prime. Et ils se sont bien cherchés, pendant une (bien) longue période !
Pour enfin se trouver ? Il faudra attendre fin 2011 pour faire un bilan intelligent.

Ici, je voulais simplement dire que j’ai aimé, oui, aimé (ou du moins beaucoup apprécié), leurs 2 dernières réalisations MDD du moment : Fruit Forever par ID Beauty (ceux qui avaient déjà fait Rexaline pour Sephora ou encore O2D Biotic) ou encore Swiss Apple Formula (qui était exposée au Beyond Beauty – et qui me rappelle « un peu trop ? » Pommarium, pas vous ?).
2 marques qui semblent avoir un territoire d’expression clair, une identité, un positionnement. Pack. Couleurs. Ambiance. Bénéfices. Parti pris. On s’y retrouve.
Ils n’auront peut être pas construit un ADN global ! Mais…le job est fait. Avouons.

Forcément, il aurait fallu les tester (ce que je n’ai pas encore fait) pour voir si MDD rimait bien avec qualité : ce que tant de filles craignent parfois encore. Clichés et « Histoire » obligent.

Mais avec tout le boulot et l’attention portée aujourd’hui sur le sujet par toutes ces enseignes - qui connaissent désormais ultra bien, nos profils, nos attentes et nos faiblesses (carte de fidélité et autre s programmes à l’appui des études) -, à mon humble avis, il va falloir aussi désormais suivre ces MDD là qui nous en diront parfois, long sur ce que nous aimons consommer, comment et pourquoi ?

Après Carrefour et toute la clique, l’ère de la MDD se cherche une vie dans le monde de la beauté.
Gardons les yeux plus ouverts que jamais en longeant nos linéaires…

(*) MDD = Marques de Distributeurs.