Pour les plus attentives d’entre vous, vous aurez peut être noté que dans le Best Of 2009, il y a le parfum VIVARA d’Emilio Pucci dont je n’ai pas pu vous parler avant cette fin d’année. Pourtant, j’en avais bien l’intention. Et puis, le temps a joué contre moi. Bref.
Il fallait cependant que je vous en parle.
Pourquoi ?
Parce que je suis allée faire (ce qu’on appelle) un store check (i.e : relevé de produits en rayons dans un « magasin ») - chez Sephora dans le cas présent - pour me faire une petite idée des parfums que je ne connaissais pas et qui méritaient le détour (ou ceux qu’il ne fallait mieux pas connaitre : genre ESSENCE de Narciso Rodriguez ! J’ai détesté), sans compter tous les grands classiques dont certains ont fait « peau neuve » par leur extension de gamme sur lesquels je ne me suis pas penchée (les nouvelles gammes de Poison par exemple : bien moins fortes, originales, et très intéressantes !).
Car le parfum n’est (était) à la base pas mon secteur Beauté de prédilection.
Mais pour Noel et les fêtes, il faut bien dire qu’ils mettent toujours le paquet : pub télé et grands visuels dans tous les magazines féminins que ce pays diffuse, et affichage de surcroit à tous les coins et recoins de bus !
Alors, tranquillement, j’ai fureté, j’ai senti, tourné, observé, ressenti, regardé.
Je ne vais pas vous faire ici une liste de toutes mes observations (trop long !).
Je me suis rendue compte qu’on pouvait prendre le sujet par 2 bouts :
1 - Beaucoup de parfums nous vont si l’on considère que le neutre peut faire partie de notre garde robe. Moi-même j’ai porté CK Be pendant près de 10 ans (et je l’aime encore). Pour cet angle d’attaque là, je vais alors vous présenté Private de IKKS - ci-dessous -.
2 - Extrêmement peu de parfums se révèlent à nous comme une part d’identité, quelques happy fews auront un déclic, et les coups coeur sont finalement (très) rares. De ces parfums ci, on s’en souviendra alors telle la/sa madeleine de Proust. Et quelques part, un bout de notre histoire lui sera indéfiniment lié… Dans ce cadre là, je vais vous cité Vivara…
Private de IKKS.
Le positionnement du parfum n’est en rien mensonger. Et qui lira la présentation saura. Saura quoi ? Qu’on est en plein dans ce « genre » de parfums : branché, éphémère, standard mais correct, opération quelque peu marketing, qui cible (« target ») avant tout le nombre et un peu moins un « cœur » (ce cible). On « pshitt » large et on assure les basiques ! Et sur ça, on est pile poil dans la chose.
Le parfum s’adresse à « la femme active, indépendante, un brin rebelle, avec une fragrance douce, légère et sensuelle ». On n’est pas vraiment dans la dichotomie…
- Qui ne se veut pas un brin rebelle lève le bras ! (non, non, je suis super fadasse…).
- Qui n’est pas indépendante crie son nom (« non, non, je vis au crochet de mes amis, et ne sais pas encore penser par moi-même ! »).
- Qui ne signerait pas pour une fragrance douce et sensuelle ? (non, non, j’aime les trucs carrément pas féminins et qui arrachent !! »). Vu ?
Alors, le truc, c’est que là, j’ai l’air de dénigrer ! (non ?! vraiment ?!). Mais en fait : pas du tout !
Je le porte même à l’instant ou je vous écrit ! C’est dire ! Schyzophrène ??!! Pas du tout non plus ! C’est juste que certains jours, on peut avoir envie de sentir bon (fragrance effectivement assez douce et assez sensuelle. En tous cas, féminine et « ça sent bon » : fonction première tout de même d’un parfum !), sans forcément avoir envie de porter « sa » deuxième peau. Celle qu’on a par contre envie de mettre avec attention et complicité. Non ?
NB : Ceci ne pouvant être compris que par les filles qui ont au moins 2 sinon 3 parfums. Pour les ultra fidèles à 1 seul flacon, forcément…c’est plus dur ! Mais bon.
Une chose est sure, on ne peut pas accuser le choix du parfum relatif à la maque. On y retrouve tout ce que IKKS revendique : qui convient à toutes les jeunes actives, notamment parisiennes, branchées qui savent aussi se comporter en bon mouton et toutes se ressembler par plein de facettes (y a qu’à voir la mode et les marques que toutes portent, y compris moi d’ailleurs…).
En synthèse : J’aime... bien. Mais je ne peux juste pas pensé que c’est et sera « MON » parfum. Comme j’ai pourtant besoin de le dire pour un des flacons qui ornent ma salle de bain. « Le mien », celui qui me parle, celui qui me ressemble, celui que je retiendrais !
Et quand on parle du loup…
VIVARA d’Emilio Pucci.
C’est par hasard que j’ai découvert Vivara. J’avais remarqué son packaging « spécial fin d’année » et avais demandé à le tester. Bon choix ! Bel hasard.
Avec réception du petit échantillon que l’on m’a fait parvenir, mes narines ont sauté de joie.
Un parfum qui accroche, qui « tilte », qui vous donne envie de vous l’approprier.
Voilà. Vivara c’est, comme je disais plus haut : « Pour de vrai. Pour un moment. Voire peut être bien pour des années. »
Il est léger tout en « collant » à la peau, il est fleuri sans être entêtant, il fait jeune tout en faisant femme, et laisse derrière lu une légère effluve au creux des poignets ou sur mon écharpe d’hiver que j’adore… !
Du coup, je ne l’ai pas encore acheté mais j’y compte bien. (En fait on m’a offert Daisy de Marc Jacobs et je l’aime tellement que pour l’instant Emilio attendra encore un tout petit peu. Mais cela ne remet en rien en cause mon coup de cœur pour ce joli parfum.)
Une des jolies rencontres de cette année cosmétique écoulée qui restera.
Et vous quel est votre parfum « cœur » au fait ??? Dites moi.
Il fallait cependant que je vous en parle.
Pourquoi ?
Parce que je suis allée faire (ce qu’on appelle) un store check (i.e : relevé de produits en rayons dans un « magasin ») - chez Sephora dans le cas présent - pour me faire une petite idée des parfums que je ne connaissais pas et qui méritaient le détour (ou ceux qu’il ne fallait mieux pas connaitre : genre ESSENCE de Narciso Rodriguez ! J’ai détesté), sans compter tous les grands classiques dont certains ont fait « peau neuve » par leur extension de gamme sur lesquels je ne me suis pas penchée (les nouvelles gammes de Poison par exemple : bien moins fortes, originales, et très intéressantes !).
Car le parfum n’est (était) à la base pas mon secteur Beauté de prédilection.
Mais pour Noel et les fêtes, il faut bien dire qu’ils mettent toujours le paquet : pub télé et grands visuels dans tous les magazines féminins que ce pays diffuse, et affichage de surcroit à tous les coins et recoins de bus !
Alors, tranquillement, j’ai fureté, j’ai senti, tourné, observé, ressenti, regardé.
Je ne vais pas vous faire ici une liste de toutes mes observations (trop long !).
Je me suis rendue compte qu’on pouvait prendre le sujet par 2 bouts :
1 - Beaucoup de parfums nous vont si l’on considère que le neutre peut faire partie de notre garde robe. Moi-même j’ai porté CK Be pendant près de 10 ans (et je l’aime encore). Pour cet angle d’attaque là, je vais alors vous présenté Private de IKKS - ci-dessous -.
2 - Extrêmement peu de parfums se révèlent à nous comme une part d’identité, quelques happy fews auront un déclic, et les coups coeur sont finalement (très) rares. De ces parfums ci, on s’en souviendra alors telle la/sa madeleine de Proust. Et quelques part, un bout de notre histoire lui sera indéfiniment lié… Dans ce cadre là, je vais vous cité Vivara…
Private de IKKS.
Le positionnement du parfum n’est en rien mensonger. Et qui lira la présentation saura. Saura quoi ? Qu’on est en plein dans ce « genre » de parfums : branché, éphémère, standard mais correct, opération quelque peu marketing, qui cible (« target ») avant tout le nombre et un peu moins un « cœur » (ce cible). On « pshitt » large et on assure les basiques ! Et sur ça, on est pile poil dans la chose.
Le parfum s’adresse à « la femme active, indépendante, un brin rebelle, avec une fragrance douce, légère et sensuelle ». On n’est pas vraiment dans la dichotomie…
- Qui ne se veut pas un brin rebelle lève le bras ! (non, non, je suis super fadasse…).
- Qui n’est pas indépendante crie son nom (« non, non, je vis au crochet de mes amis, et ne sais pas encore penser par moi-même ! »).
- Qui ne signerait pas pour une fragrance douce et sensuelle ? (non, non, j’aime les trucs carrément pas féminins et qui arrachent !! »). Vu ?
Alors, le truc, c’est que là, j’ai l’air de dénigrer ! (non ?! vraiment ?!). Mais en fait : pas du tout !
Je le porte même à l’instant ou je vous écrit ! C’est dire ! Schyzophrène ??!! Pas du tout non plus ! C’est juste que certains jours, on peut avoir envie de sentir bon (fragrance effectivement assez douce et assez sensuelle. En tous cas, féminine et « ça sent bon » : fonction première tout de même d’un parfum !), sans forcément avoir envie de porter « sa » deuxième peau. Celle qu’on a par contre envie de mettre avec attention et complicité. Non ?
NB : Ceci ne pouvant être compris que par les filles qui ont au moins 2 sinon 3 parfums. Pour les ultra fidèles à 1 seul flacon, forcément…c’est plus dur ! Mais bon.
Une chose est sure, on ne peut pas accuser le choix du parfum relatif à la maque. On y retrouve tout ce que IKKS revendique : qui convient à toutes les jeunes actives, notamment parisiennes, branchées qui savent aussi se comporter en bon mouton et toutes se ressembler par plein de facettes (y a qu’à voir la mode et les marques que toutes portent, y compris moi d’ailleurs…).
En synthèse : J’aime... bien. Mais je ne peux juste pas pensé que c’est et sera « MON » parfum. Comme j’ai pourtant besoin de le dire pour un des flacons qui ornent ma salle de bain. « Le mien », celui qui me parle, celui qui me ressemble, celui que je retiendrais !
Et quand on parle du loup…
VIVARA d’Emilio Pucci.
C’est par hasard que j’ai découvert Vivara. J’avais remarqué son packaging « spécial fin d’année » et avais demandé à le tester. Bon choix ! Bel hasard.
Avec réception du petit échantillon que l’on m’a fait parvenir, mes narines ont sauté de joie.
Un parfum qui accroche, qui « tilte », qui vous donne envie de vous l’approprier.
Voilà. Vivara c’est, comme je disais plus haut : « Pour de vrai. Pour un moment. Voire peut être bien pour des années. »
Il est léger tout en « collant » à la peau, il est fleuri sans être entêtant, il fait jeune tout en faisant femme, et laisse derrière lu une légère effluve au creux des poignets ou sur mon écharpe d’hiver que j’adore… !
Du coup, je ne l’ai pas encore acheté mais j’y compte bien. (En fait on m’a offert Daisy de Marc Jacobs et je l’aime tellement que pour l’instant Emilio attendra encore un tout petit peu. Mais cela ne remet en rien en cause mon coup de cœur pour ce joli parfum.)
Une des jolies rencontres de cette année cosmétique écoulée qui restera.
Et vous quel est votre parfum « cœur » au fait ??? Dites moi.
Private by IKKS
Note de tête : orange, mandarine, bergamote
Note de cœur : fleurs blanches et cassis
Note de fond : musk
50ml / 44 € - 100ml / 59 €
VIVARA by Emilio Pucci
Note de tête : galbanum, bergamote de calabre, amaretto
Note de cœur : jasmin sambac, fleur d’oranger, narcisse
Note de fond : iris de Florence, vétiver, patchouli
50ml / 65.90 € (exclusivité Sephora)
4 commentaires:
(presque) rien à voir :-) mais : j'adore le parfum Daisy de Marc Jacobs !! beau cadeau donc ! :-)
@ Nath : oui, je sais ;)
IKKS ? C'est pas plutot pour les minettesd de 20 ans ça ?
@ Alixe : on peut le formuler eventuellement ainsi ! :)
Enregistrer un commentaire