Il y avait Lelouche - et il y en aura encore certainement bien d’autres -, il y a eu « Love Actually » dans le même genre, enfin sans parler de « Ensemble c’est tout » de cette chère Gavalda qui a tant fait de bruit. Et puis vient alors « Six Degrees », série TV prometteuse qui m’a déjà rendue accro après 2 épisodes sur Serie Club.
Et enfin vient de sortir « L.A Story ». Un bouquin qui semble commencer ses ventes en fanfare et qui a collecté un « A » général dans « Ca balance à Paris » (pas une référence ? Quand même.. ça se discute… Surtout après une présentation dithyrambique en comparatif de la ville elle-même faite en direct par Elisabeth Quin, toujours inimitable !)
La théorie de « faire des histoires dans les histoires », le « croisement des destins », l’idée que l’on peut se faire que toutes nos trajectoires converges, d’une manière ou d’une autre, tortueuse, mystérieuse, amoureuse, ou simplement professionnelle !
Est-ce parce qu’on aime ça ?
Est-ce par ce que c’est une manière de se rassurer ? De se dire que l’on est pas (jamais/pas vraiment) seul ?
Est-ce tout simplement une vérité qui nous saute toujours au yeux à certains moments clés ?
De la traditionnelle petite phrase standard « Le monde est (si) petit » aux vrais impacts de vies croisées, les scénar’, en tous cas, ne manquent pas !
Cinéma ou littérature, vécu ou imagination : on arrive toujours à se laisser prendre au jeu.
J’ai juste eu l’impression que cette « tendance » avait franchement le vent en poupe.
Si jamais je recoupe cela – c’est d’actualité vu le post ! – avec ce que j’ai également pu lire de manière récurrente dans les tendances de Planning Stratégique sous des noms tortueux tels que « Renouer le cordon » ou simplement dans les magazines de marketing sur « Le renouveau du lien social » (cf. post précédent avec les sites d’échanges, de troc, etc.) : je me disais alors que la crise pouvait avoir son lot d’encouragements quant à ce créneau !
Le capitalisme ou la guerre sociale, les licenciements, la chute du mur de la surconsommation, les promesses politiques sans lendemain, l’isolement des vieux, et finalement, des moins vieux, l’incompréhension des générations entre elles, l’omnipotence du virtuel, l’égocentrisme moderne : tous ces points, plus ou moins philosophiques, toujours concrets, sont tout autant de stimuli pour vouloir commencer à dire bonjour à son voisin !
La théorie des « Six degrees » comme quoi en prenant 6 personnes on arrive forcément à les relier colle parfaitement à l’air du temps !
Peut être que vous aussi, vous vous amusez, plus souvent ces derniers temps, par petites touches, à entrer dans la danse : créer des « troc party » pour échanger vos fringues, avec des copines et puis finalement par le réseau de jeunes modeuses sympathiques triées sur Facebook ? ou encore participer à des cours de cuisines de voisinage dont on vous a parlé et où vous vous dites que vous vous ferez des ami(e)s partageant la même passion, ou bien en devenant une « habituée » du resto en face « qui fait des pot au feu comme grand-mère » où – en fait - vous réalisez n’avoir jamais mis les pieds avant hors jour de grève de métro générale et frigo désespérément vide !
Bref. Le lien social : que du bon ?
Moi je dirais plutôt OUI ! Renouons, reparlons, discutons.
Nous ne sommes pas non plus obligés de tous devenirs les meilleurs amis du monde, hein ! C’est pas non plus Heidi ou le pays de Candy !!!
Mais pourquoi ne pas redevenir un peu plus humain. J’aime cette idée. Elle me va bien.
Ca nous redonnerait un peu de couleur alors que le soleil nous retire quelques minutes par jour depuis déjà bien des semaines.
En tant de grisaille, rien de mieux qu’un bon « nesting » ou un pur « cocooning » aux chocolats chauds et parties de scrabble entre voisins ! Non ?
OK, on peut aussi partir à Courchevel ou (BIEN) mieux, à l’Ile Maurice – bientôt sous les eaux ! -, en couple, ou au bout du monde, et s’isoler dans une cabane en mangeant du poisson grillé sur des bouts de bois les pieds dans le sable fin… Ca s’étudie, certes !
Et enfin vient de sortir « L.A Story ». Un bouquin qui semble commencer ses ventes en fanfare et qui a collecté un « A » général dans « Ca balance à Paris » (pas une référence ? Quand même.. ça se discute… Surtout après une présentation dithyrambique en comparatif de la ville elle-même faite en direct par Elisabeth Quin, toujours inimitable !)
La théorie de « faire des histoires dans les histoires », le « croisement des destins », l’idée que l’on peut se faire que toutes nos trajectoires converges, d’une manière ou d’une autre, tortueuse, mystérieuse, amoureuse, ou simplement professionnelle !
Est-ce parce qu’on aime ça ?
Est-ce par ce que c’est une manière de se rassurer ? De se dire que l’on est pas (jamais/pas vraiment) seul ?
Est-ce tout simplement une vérité qui nous saute toujours au yeux à certains moments clés ?
De la traditionnelle petite phrase standard « Le monde est (si) petit » aux vrais impacts de vies croisées, les scénar’, en tous cas, ne manquent pas !
Cinéma ou littérature, vécu ou imagination : on arrive toujours à se laisser prendre au jeu.
J’ai juste eu l’impression que cette « tendance » avait franchement le vent en poupe.
Si jamais je recoupe cela – c’est d’actualité vu le post ! – avec ce que j’ai également pu lire de manière récurrente dans les tendances de Planning Stratégique sous des noms tortueux tels que « Renouer le cordon » ou simplement dans les magazines de marketing sur « Le renouveau du lien social » (cf. post précédent avec les sites d’échanges, de troc, etc.) : je me disais alors que la crise pouvait avoir son lot d’encouragements quant à ce créneau !
Le capitalisme ou la guerre sociale, les licenciements, la chute du mur de la surconsommation, les promesses politiques sans lendemain, l’isolement des vieux, et finalement, des moins vieux, l’incompréhension des générations entre elles, l’omnipotence du virtuel, l’égocentrisme moderne : tous ces points, plus ou moins philosophiques, toujours concrets, sont tout autant de stimuli pour vouloir commencer à dire bonjour à son voisin !
La théorie des « Six degrees » comme quoi en prenant 6 personnes on arrive forcément à les relier colle parfaitement à l’air du temps !
Peut être que vous aussi, vous vous amusez, plus souvent ces derniers temps, par petites touches, à entrer dans la danse : créer des « troc party » pour échanger vos fringues, avec des copines et puis finalement par le réseau de jeunes modeuses sympathiques triées sur Facebook ? ou encore participer à des cours de cuisines de voisinage dont on vous a parlé et où vous vous dites que vous vous ferez des ami(e)s partageant la même passion, ou bien en devenant une « habituée » du resto en face « qui fait des pot au feu comme grand-mère » où – en fait - vous réalisez n’avoir jamais mis les pieds avant hors jour de grève de métro générale et frigo désespérément vide !
Bref. Le lien social : que du bon ?
Moi je dirais plutôt OUI ! Renouons, reparlons, discutons.
Nous ne sommes pas non plus obligés de tous devenirs les meilleurs amis du monde, hein ! C’est pas non plus Heidi ou le pays de Candy !!!
Mais pourquoi ne pas redevenir un peu plus humain. J’aime cette idée. Elle me va bien.
Ca nous redonnerait un peu de couleur alors que le soleil nous retire quelques minutes par jour depuis déjà bien des semaines.
En tant de grisaille, rien de mieux qu’un bon « nesting » ou un pur « cocooning » aux chocolats chauds et parties de scrabble entre voisins ! Non ?
OK, on peut aussi partir à Courchevel ou (BIEN) mieux, à l’Ile Maurice – bientôt sous les eaux ! -, en couple, ou au bout du monde, et s’isoler dans une cabane en mangeant du poisson grillé sur des bouts de bois les pieds dans le sable fin… Ca s’étudie, certes !
Faut voir. "Combien le vol pour les Maldives en décembre ?" (...)
AH. Ah ben non... Le chocolat chaud est en promo dans le Huit à Huit en bas de chez moi, et faut absolument que je demande à ma voisine d'en face où elle a choppé sa lampe en boules multicolores !!
S'cusez.
1 commentaire:
Bel article ! J'ai bien aimé le lire ;)
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