Je ne vais pas vous présenter la marque Caudalie. Désormais référence cosmétique en pharmacie, nous sommes aujourd’hui nombreuses à raffoler de ses produits telle que sa crème Premières Vendanges ou encore ses petits bijoux pour le bain (gels douche au parfum délicat ou les huiles). Sans parler de ses Spas où l’on se ferait bien offrir un week end prolongé!!! (Après un accouchement par exemple. Non ? Tiens, quelle bonne idée !)
Pour ce post, j’ai bien un thème en tête. Mais commençons par l’apéro…
Une petite info qui m’amuse. Car j’ai remarqué que beaucoup de gens se demandaient parfois furtivement si la marque avait un sens…en allant rarement chercher la réponse.
Alors ? Voici donc l’info ludique pour vos prochains diner en ville : « Qu’est ce qu’une Caudalie ? »
Réponse : une Caudalie est une unité de mesure et correspond à une seconde de persistance en bouche des arômes du vin après la dégustation.
Bon. Ca, c’est fait ! Passons au plat principal.
Eh bien, je suis sur mon petit PC chéri parce que j’ai été charmée – oui ! charmée, c’est le mot. Ne vous en déplaise ! – par le dernier lancement de la marque. Mais surtout, intriguée par certains côtés aussi. Rien de tel par conséquent pour vous écrire un petit mot par ici.
Si l’on s’intéresse quelque peu de près au monde et aux nouveautés cosmétiques des divers circuits, nous aurons noté que Caudalie est sur un créneau assez « Premium », comme on dit, quant à la cosméto pharma (standard).
Loin du positionnement « clinique » de Avène ou de La Roche Posay, ou même de Vichy, elle se distingue également de RoC par ses packs épurés, et ses « claims » à la fois orientés sur le résultat mais également beaucoup sur le côté «Glam’ » des produits.
Visuels très « marques de beauté » (se rapprochant pas mal des communications des marques liées au sélectif), mise en scène plus élaborées, pas de schémas chirurgicaux, ni de chiffres sortis des panels trop apparents…
Bref. Alors quand j’ai vu le dernier né, j’ai compris que ces ambitions initiales avaient été poussées un cran plus loin !
Premier cru, c’est LE produit PREMIUM de la marque, et l’affirmation haute et forte de son positionnement. Preuves à l’appui.
1/ Sur les brevets. Pas 1, ni 2 mais bien 3 : Resvératrol, Viniférine de vigne, Polyphénols de raisin. Car Caudalie est une des rares marques à déposer ses propres brevets.
Historiquement leadées par le Professeur Vercauteren et son équipe de chercheurs de la Faculté de Pharmacie de Bordeaux, les recherches de Caudalie n’ont de cesse d’aller chercher des idées neuves et novatrices depuis 1993, début de la collaboration entre ce professeur et les 2 fondateurs (et époux) Mathilde et Bertrand Thomas.
2/ Sur le produit lui-même : graine de raisins, sarments, sève. Tout y est ! Pour un maximum d’effet pour satisfaire ces dames. Car le challenge reste élevé.
On dit Premier Cru destiné à bannir de votre joli minois tous les signes de l’âge. Et ils sont tous là, cités un à un : fermeté, rides, taches (prévenir, pas guérir), sècheresse, stress oxydatif (ou « comment stopper net les radicaux libres grâce aux polyphénols de raisin, déjà largement exploités dans le discours de marque depuis toujours »).
Il semble ne rien avoir été oublié.
3/ Petite note perso en plus : on a également travaillé la note « verte »
- Pas de parabènes
- Pas de phénoxyéthanol
- Pas de colorants non plus
- Pas de tests sur les animaux
- Et même : un conservateur certifié Ecocert !
Alors ? Que du bon ? Que du beau ? Une note de patinage à la 8.5, 9.2 ou même 10.0 ?
Je n’ai pas encore testé personnellement le produit pendant 1 mois pour vous donner un avis suffisamment honnête et éclairé sur le résultat de cette crème.
J’ai cependant des copines qui en sont « ra-vies » !
Conquises par l’effet lissant, la texture onctueuse et le parfum (unanimement applaudi, pour le coup), elles m’ont dit l’avoir adopté.
Voilà tout ce que je peux vous dire à date.
Mais. Un bémol commun à toutes ces copines…et peut être à mon « retard » sur l’essai : le prix… De taille ?
Pour ma part, c’est un vrai « gloups » : 89 euros annoncé à la caisse. « Woutcha ».
Ah ben oui, oui, je sais. « Soyons cohérent » me direz vous ! Certes !
J’annonçais alors toute guillerette que Caudalie revendiquait allègrement et avec audace et allure son positionnement plus « luxueux » que d’autres en tête de gondole des pharmacies de notre capitale (et Province)? OK. « Fair enough » dirait on.
Seule question : est ce que tout le monde va suivre ?
Quand je dis tout le monde, c’est que moi j’ai déjà : les gels douche, le gommant Cabernet, la mousse nettoyante, l’huile de bain drainante et relaxante, la crème gommante douce, l’Eau de Beauté, Fleur de Vigne (de cet été), Vinoperfect (sérum : pour ma grossesse. Très bon anti tache), et Premières Vendanges (épuisé : faut que j’aille en acheter un neuf depuis 3 jours !! je suis aux échantillons Lancôme en attendant !).
OUI ! Rien qu’ça tout de même.
Pourtant : je n’ai pas acheté la référence « Premier Cru ».
Pourquoi : trop cher. Psychologiquement, impossible de ne pas me référer aux autres produits de la marque bien moins chers, ni de faire un très rapide benchmark (cf. une de mes crèmes préférées et excellente : Estée Lauder Total Turnaround 50ml à… 50 euros chez Sephora notamment).
Alors ? Premier Cru : un pari osé ? un choix stratégique assumé ?
Je pense que les premières ventes seront très intéressantes à suivre de près.
Ceci dit, c’est une stratégie comme une autre. Un peu comme le magazine Challenges avait affirmé vouloir croitre par la valeur plutôt que le volume, en augmentant clairement son prix facial : ils disaient sans complexe que cela ne les gênait par conséquent pas de savoir qu’ils allaient en perdre certains pour en fidéliser d’autres et en recruter certains. Clair, limpide, calculé.
Pour ce post, j’ai bien un thème en tête. Mais commençons par l’apéro…
Une petite info qui m’amuse. Car j’ai remarqué que beaucoup de gens se demandaient parfois furtivement si la marque avait un sens…en allant rarement chercher la réponse.
Alors ? Voici donc l’info ludique pour vos prochains diner en ville : « Qu’est ce qu’une Caudalie ? »
Réponse : une Caudalie est une unité de mesure et correspond à une seconde de persistance en bouche des arômes du vin après la dégustation.
Bon. Ca, c’est fait ! Passons au plat principal.
Eh bien, je suis sur mon petit PC chéri parce que j’ai été charmée – oui ! charmée, c’est le mot. Ne vous en déplaise ! – par le dernier lancement de la marque. Mais surtout, intriguée par certains côtés aussi. Rien de tel par conséquent pour vous écrire un petit mot par ici.
Si l’on s’intéresse quelque peu de près au monde et aux nouveautés cosmétiques des divers circuits, nous aurons noté que Caudalie est sur un créneau assez « Premium », comme on dit, quant à la cosméto pharma (standard).
Loin du positionnement « clinique » de Avène ou de La Roche Posay, ou même de Vichy, elle se distingue également de RoC par ses packs épurés, et ses « claims » à la fois orientés sur le résultat mais également beaucoup sur le côté «Glam’ » des produits.
Visuels très « marques de beauté » (se rapprochant pas mal des communications des marques liées au sélectif), mise en scène plus élaborées, pas de schémas chirurgicaux, ni de chiffres sortis des panels trop apparents…
Bref. Alors quand j’ai vu le dernier né, j’ai compris que ces ambitions initiales avaient été poussées un cran plus loin !
Premier cru, c’est LE produit PREMIUM de la marque, et l’affirmation haute et forte de son positionnement. Preuves à l’appui.
1/ Sur les brevets. Pas 1, ni 2 mais bien 3 : Resvératrol, Viniférine de vigne, Polyphénols de raisin. Car Caudalie est une des rares marques à déposer ses propres brevets.
Historiquement leadées par le Professeur Vercauteren et son équipe de chercheurs de la Faculté de Pharmacie de Bordeaux, les recherches de Caudalie n’ont de cesse d’aller chercher des idées neuves et novatrices depuis 1993, début de la collaboration entre ce professeur et les 2 fondateurs (et époux) Mathilde et Bertrand Thomas.
2/ Sur le produit lui-même : graine de raisins, sarments, sève. Tout y est ! Pour un maximum d’effet pour satisfaire ces dames. Car le challenge reste élevé.
On dit Premier Cru destiné à bannir de votre joli minois tous les signes de l’âge. Et ils sont tous là, cités un à un : fermeté, rides, taches (prévenir, pas guérir), sècheresse, stress oxydatif (ou « comment stopper net les radicaux libres grâce aux polyphénols de raisin, déjà largement exploités dans le discours de marque depuis toujours »).
Il semble ne rien avoir été oublié.
3/ Petite note perso en plus : on a également travaillé la note « verte »
- Pas de parabènes
- Pas de phénoxyéthanol
- Pas de colorants non plus
- Pas de tests sur les animaux
- Et même : un conservateur certifié Ecocert !
Alors ? Que du bon ? Que du beau ? Une note de patinage à la 8.5, 9.2 ou même 10.0 ?
Je n’ai pas encore testé personnellement le produit pendant 1 mois pour vous donner un avis suffisamment honnête et éclairé sur le résultat de cette crème.
J’ai cependant des copines qui en sont « ra-vies » !
Conquises par l’effet lissant, la texture onctueuse et le parfum (unanimement applaudi, pour le coup), elles m’ont dit l’avoir adopté.
Voilà tout ce que je peux vous dire à date.
Mais. Un bémol commun à toutes ces copines…et peut être à mon « retard » sur l’essai : le prix… De taille ?
Pour ma part, c’est un vrai « gloups » : 89 euros annoncé à la caisse. « Woutcha ».
Ah ben oui, oui, je sais. « Soyons cohérent » me direz vous ! Certes !
J’annonçais alors toute guillerette que Caudalie revendiquait allègrement et avec audace et allure son positionnement plus « luxueux » que d’autres en tête de gondole des pharmacies de notre capitale (et Province)? OK. « Fair enough » dirait on.
Seule question : est ce que tout le monde va suivre ?
Quand je dis tout le monde, c’est que moi j’ai déjà : les gels douche, le gommant Cabernet, la mousse nettoyante, l’huile de bain drainante et relaxante, la crème gommante douce, l’Eau de Beauté, Fleur de Vigne (de cet été), Vinoperfect (sérum : pour ma grossesse. Très bon anti tache), et Premières Vendanges (épuisé : faut que j’aille en acheter un neuf depuis 3 jours !! je suis aux échantillons Lancôme en attendant !).
OUI ! Rien qu’ça tout de même.
Pourtant : je n’ai pas acheté la référence « Premier Cru ».
Pourquoi : trop cher. Psychologiquement, impossible de ne pas me référer aux autres produits de la marque bien moins chers, ni de faire un très rapide benchmark (cf. une de mes crèmes préférées et excellente : Estée Lauder Total Turnaround 50ml à… 50 euros chez Sephora notamment).
Alors ? Premier Cru : un pari osé ? un choix stratégique assumé ?
Je pense que les premières ventes seront très intéressantes à suivre de près.
Ceci dit, c’est une stratégie comme une autre. Un peu comme le magazine Challenges avait affirmé vouloir croitre par la valeur plutôt que le volume, en augmentant clairement son prix facial : ils disaient sans complexe que cela ne les gênait par conséquent pas de savoir qu’ils allaient en perdre certains pour en fidéliser d’autres et en recruter certains. Clair, limpide, calculé.
Efficace ?
En tous cas, bonne chance. Aimant cette marque, et adepte satisfaite de sa gamme, je ne peux que lui souhaiter de réussir ce prochain challenge. Bonne route, bon vent, et à très bientôt !
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