Impeccable.
Un film époustouflant : qualité du sujet, qualité du scénario, qualité des acteurs, qualité des décors.
Cela faisait très longtemps (je ne me souviens même plus !) que je n’avais pas vu un aussi bon film. On en sort touché, presque changé.
Le sous titre nous dit « Changer le monde commence par changer soi même » : racoleur ? voire niais ? Bien au contraire, le sens de la phrase et sa portée son mis en scène avec brio, impact et une justesse infinie.
J’ai ici découvert un talent inconnu et incroyable : Luis TOSAR.
Un pilier pour ce film, un talent pour le 7ème art. A noter !
J’ai également adoré l’impact « post projection » : on fait des liens entre les évènements historiques et actuels liés au montage du scénario lui-même.
On rumine chaque passage pour en extraire le sens caché quand on a vu qu’il y en avait un peu partout, tels des indices planqués, un peu partout : au détour d’une parole (scène du mot « Yaku » dans le restaurant et le reste de l’histoire), sur un plan fixe (Luis Tosar devant la montagne et la grande croix perchée en rappel à l’histoire du martyr et sauveur).
Un exercice délicieux quand il sert une réflexion saine et intelligente, toujours actuelle, quelque soit l’époque et le lieu : d’un point de vu social, politique ou religieux, où s’arrêtent les valeurs, où commencent les principes et les dogmes, où bascule t on dans la dictature des points de vue ?
Allez le voir aujourd’hui, offrez le plus tard à ceux que vous aimez.
Pour moi, il est devenu un « must have » cinématographique.
Du sens, de l’art et un moment où le cœur et la tête se mêlent pour le meilleur…
On aime.
Un film époustouflant : qualité du sujet, qualité du scénario, qualité des acteurs, qualité des décors.
Cela faisait très longtemps (je ne me souviens même plus !) que je n’avais pas vu un aussi bon film. On en sort touché, presque changé.
Le sous titre nous dit « Changer le monde commence par changer soi même » : racoleur ? voire niais ? Bien au contraire, le sens de la phrase et sa portée son mis en scène avec brio, impact et une justesse infinie.
J’ai ici découvert un talent inconnu et incroyable : Luis TOSAR.
Un pilier pour ce film, un talent pour le 7ème art. A noter !
J’ai également adoré l’impact « post projection » : on fait des liens entre les évènements historiques et actuels liés au montage du scénario lui-même.
On rumine chaque passage pour en extraire le sens caché quand on a vu qu’il y en avait un peu partout, tels des indices planqués, un peu partout : au détour d’une parole (scène du mot « Yaku » dans le restaurant et le reste de l’histoire), sur un plan fixe (Luis Tosar devant la montagne et la grande croix perchée en rappel à l’histoire du martyr et sauveur).
Un exercice délicieux quand il sert une réflexion saine et intelligente, toujours actuelle, quelque soit l’époque et le lieu : d’un point de vu social, politique ou religieux, où s’arrêtent les valeurs, où commencent les principes et les dogmes, où bascule t on dans la dictature des points de vue ?
Allez le voir aujourd’hui, offrez le plus tard à ceux que vous aimez.
Pour moi, il est devenu un « must have » cinématographique.
Du sens, de l’art et un moment où le cœur et la tête se mêlent pour le meilleur…
On aime.
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